- EAN13
- 9782264082701
- ISBN
- 978-2-264-08270-1
- Éditeur
- 10-18
- Date de publication
- 29/02/2024
- Collection
- Littérature étrangère (1)
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 18 x 11 x 1,2 cm
- Poids
- 108 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Dans un monde médiéval, Martin, onze ans côtoie coqs dotés de parole, cavaliers noirs cavalant dans la nuit, princesse despotique, sorcières et bouffons cruels. Une fable étonnement contemporaine et porteuse d'espoir.
Orphelin depuis sa prime enfance, Martin, onze ans, ne possède rien d'autre que la chemise qu'il a sur le dos et un coq noir, à la fois son ami et protecteur. Les villageois, superstitieux, évitent le garçon, qu'ils pensent protégé par le diable (le coq serait son émissaire). Le trouvant étrange, bien trop intelligent et trop gentil, ils préfèrent le maltraiter que de reconnaitre ses qualités. Lorsque Martin rencontre un peintre itinérant et saisit l'occasion de quitter le village dans son sillage, il est entraîné dans un monde plus terrible encore que celui de sa vallée de naissance. C'est grâce à sa compassion et sa sagesse qu'il résistera, devenant un sauveur pour ceux encore plus innocents que lui. La pureté invincible du jeune héros arrache l'ensemble de cette histoire à la noirceur. Cependant, cette terrible dystopie n'est pas sans rappeler le monde contemporain.
" Les visions baroques de Stefanie vor Schulte et son écriture poétique (belle version française de Nicolas Véron) font de son Garçon au coq noir une fable effrayante et magnifique. " L'OBS
" Stefanie vor Schulte sait magnifiquement greffer l'invraisemblable sur la vraisemblance, tout en faisant côtoyer la vie et la mort avec une intelligence profonde et un grand sens de la narration. " Le Monde des livres
Orphelin depuis sa prime enfance, Martin, onze ans, ne possède rien d'autre que la chemise qu'il a sur le dos et un coq noir, à la fois son ami et protecteur. Les villageois, superstitieux, évitent le garçon, qu'ils pensent protégé par le diable (le coq serait son émissaire). Le trouvant étrange, bien trop intelligent et trop gentil, ils préfèrent le maltraiter que de reconnaitre ses qualités. Lorsque Martin rencontre un peintre itinérant et saisit l'occasion de quitter le village dans son sillage, il est entraîné dans un monde plus terrible encore que celui de sa vallée de naissance. C'est grâce à sa compassion et sa sagesse qu'il résistera, devenant un sauveur pour ceux encore plus innocents que lui. La pureté invincible du jeune héros arrache l'ensemble de cette histoire à la noirceur. Cependant, cette terrible dystopie n'est pas sans rappeler le monde contemporain.
" Les visions baroques de Stefanie vor Schulte et son écriture poétique (belle version française de Nicolas Véron) font de son Garçon au coq noir une fable effrayante et magnifique. " L'OBS
" Stefanie vor Schulte sait magnifiquement greffer l'invraisemblable sur la vraisemblance, tout en faisant côtoyer la vie et la mort avec une intelligence profonde et un grand sens de la narration. " Le Monde des livres
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