- EAN13
- 9782072553509
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 11/10/2018
- Collection
- Folio classique
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Correspondance avec Élisabeth de Bohême et Christine de Suède
René Descartes
Gallimard
Folio classique
La reine Christine de Suède (1626-1689) et la princesse palatine Élisabeth de
Bohême (1618-1680) sont deux femmes d’une culture et d'un caractère
exceptionnels ; désireuses de parfaire leurs connaissances en philosophie,
âgées d’une vingtaine d’années seulement, elles s’adressent au plus grand
philosophe du temps. Descartes correspond avec Élisabeth de 1643 à 1649 ; puis
avec Christine chez qui il meurt à Stockholm en 1650. Son dernier livre, ce
grand traité de morale longtemps différé que sont Les Passions de l’âme,
s’élabore ici : par leurs questionnements et leurs objections, ses
correspondantes le poussent dans ses retranchements (l’explication précise de
l’union de l’âme et du corps) et l’amènent à considérer des objets qu’il avait
jusque alors peu traités (les affects, le bonheur, l’amour). Ces lettres nous
dévoilent une pensée philosophique autant qu’une amitié intellectuelle.
S’expriment ici trois grands esprits de la République des Lettres.
Bohême (1618-1680) sont deux femmes d’une culture et d'un caractère
exceptionnels ; désireuses de parfaire leurs connaissances en philosophie,
âgées d’une vingtaine d’années seulement, elles s’adressent au plus grand
philosophe du temps. Descartes correspond avec Élisabeth de 1643 à 1649 ; puis
avec Christine chez qui il meurt à Stockholm en 1650. Son dernier livre, ce
grand traité de morale longtemps différé que sont Les Passions de l’âme,
s’élabore ici : par leurs questionnements et leurs objections, ses
correspondantes le poussent dans ses retranchements (l’explication précise de
l’union de l’âme et du corps) et l’amènent à considérer des objets qu’il avait
jusque alors peu traités (les affects, le bonheur, l’amour). Ces lettres nous
dévoilent une pensée philosophique autant qu’une amitié intellectuelle.
S’expriment ici trois grands esprits de la République des Lettres.
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