- EAN13
- 9782213717746
- ISBN
- 978-2-213-71774-6
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 24/08/2022
- Collection
- Littérature étrangère (1)
- Nombre de pages
- 352
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 x 2,5 cm
- Poids
- 482 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Je vais, tu vas, ils vont
De Jenny Erpenbeck (International Booker Prize 2024)
Fayard
Littérature étrangère
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L’AUTRE, C’EST NOUS…
Comment supporter le temps qui passe quand on est forcé à l’inactivité ? Que faire quand on ne peut plus exercer le métier qui a donné un sens à notre vie pendant des décennies ? Existons-nous encore quand personne ne nous voit ? Autant de questions que se pose Richard, professeur de lettres classiques fraîchement retraité et totalement désœuvré.
Un jour, en passant sur l’Oranienplatz, à Berlin, il croise par hasard le chemin de demandeurs d’asile. Et s’il trouvait les réponses à ses interrogations là où personne ne songe à aller les chercher ? Auprès de jeunes réfugiés venus d’Afrique qui ont échoué à Berlin et qui, depuis des années, sont condamnés à attendre qu’on les reconnaisse – qu’on les voie, tout simplement…
Mettant face à face deux réalités en apparence totalement opposées, Jenny Erpenbeck nous montre qu’à des périodes différentes, dans des pays différents, la fuite, la peur, la guerre ainsi que le sentiment d’être apatride peuvent définir le parcours de tout un chacun, quelle que soit son origine.
Traduit de l’allemand par Claire de Oliveira
Comment supporter le temps qui passe quand on est forcé à l’inactivité ? Que faire quand on ne peut plus exercer le métier qui a donné un sens à notre vie pendant des décennies ? Existons-nous encore quand personne ne nous voit ? Autant de questions que se pose Richard, professeur de lettres classiques fraîchement retraité et totalement désœuvré.
Un jour, en passant sur l’Oranienplatz, à Berlin, il croise par hasard le chemin de demandeurs d’asile. Et s’il trouvait les réponses à ses interrogations là où personne ne songe à aller les chercher ? Auprès de jeunes réfugiés venus d’Afrique qui ont échoué à Berlin et qui, depuis des années, sont condamnés à attendre qu’on les reconnaisse – qu’on les voie, tout simplement…
Mettant face à face deux réalités en apparence totalement opposées, Jenny Erpenbeck nous montre qu’à des périodes différentes, dans des pays différents, la fuite, la peur, la guerre ainsi que le sentiment d’être apatride peuvent définir le parcours de tout un chacun, quelle que soit son origine.
Traduit de l’allemand par Claire de Oliveira
Commentaires des lecteurs
« Un groupe de réfugiés n’est pas un peuple «
Richard, professeur de lettres classiques récemment à la retraite est distrait de sa routine et de ses problématiques par sa rencontre avec un groupe de migrants africains réclamant une existence visible sur le territoire allemand. D’abord par apathie, puis par ...
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