- EAN13
- 9782081256736
- ISBN
- 978-2-08-125673-6
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 04/2011
- Collection
- MONOGRAPHIES
- Nombre de pages
- 416
- Dimensions
- 31 x 24,1 x 3,6 cm
- Poids
- 2638 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 750
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Manet
initiale M, l'oeil, une main
De James Henry Rubin
Traduit par Jeanne Bouniort
Flammarion
Monographies
Cette monographie se propose de montrer quelle est la vraie place d'Edouard Manet dans l'histoire de la modernité.
Manet inventeur du moderne en peinture : l'assertion, maintes fois formulée, est au moins suspecte. Pourtant l'idée demeure bien ancrée d'une éruption spontanée de l'art moderne vers 1863-1865, au moment où Manet expose publiquement Le Bain et L'Olympia , dérangeantes démonstrations virtuoses d'un peintre archi-cultivé qui aurait trop bien suivi les conseils de son maître le demi-classique Thomas Couture. Cependant, comme toute rumeur persistante, celle-ci a un fond de vérité historique ; le tout est de cerner de quelle histoire il s'agit. Ce que se propose de faire James Rubin. Une nouvelle monographie de Manet s'impose donc et tout d'abord comme celle d'un peintre ancré dans la vie autant que dans son art, s'attachant à réinventer l'une et l'autre. Où donc se situent la personnalité, les intentions véritables du peintre ? Autant que dans le contexte social et politique où se sont déroulés les menus et les grands faits de sa vie, Rubin nous invite à les redécouvrir, au plus près de la technique de Manet, dans le mouvement intermittent qui s'accomplit sans cesse de l'œil à la main de l'artiste.
Manet inventeur du moderne en peinture : l'assertion, maintes fois formulée, est au moins suspecte. Pourtant l'idée demeure bien ancrée d'une éruption spontanée de l'art moderne vers 1863-1865, au moment où Manet expose publiquement Le Bain et L'Olympia , dérangeantes démonstrations virtuoses d'un peintre archi-cultivé qui aurait trop bien suivi les conseils de son maître le demi-classique Thomas Couture. Cependant, comme toute rumeur persistante, celle-ci a un fond de vérité historique ; le tout est de cerner de quelle histoire il s'agit. Ce que se propose de faire James Rubin. Une nouvelle monographie de Manet s'impose donc et tout d'abord comme celle d'un peintre ancré dans la vie autant que dans son art, s'attachant à réinventer l'une et l'autre. Où donc se situent la personnalité, les intentions véritables du peintre ? Autant que dans le contexte social et politique où se sont déroulés les menus et les grands faits de sa vie, Rubin nous invite à les redécouvrir, au plus près de la technique de Manet, dans le mouvement intermittent qui s'accomplit sans cesse de l'œil à la main de l'artiste.
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